L'espérance c'est la profondeur de
l'espoir.
La mort c'est la profondeur de la
vie.
La fidélité c'est la profondeur du
temps.
Le sourire c'est la signature de
Dieu.
La nostalgie c'est la profondeur du
Ciel.
La patrie c'est la profondeur des
communautés.
Le mariage c'est la profondeur des
sexes.
N'est-ce pas? ;-)
Une société sans le recul de l'humour de l'invisible fonce tout droit dans le pire des totalitarismes : la vie prise au pied de la lettre!
Le mot "humour" tient dans les entrailles maternelles de la langue française une contraction toute mystérieuse : alliance d'humilité et d'amour il est l'enfant des tout petits. Sans lui c'est
l'orgueil ou le mensonge qui viennent se glisser dans nos liens.
Si les fonctions maternelle et paternelle agissent visiblement dans le quotidien, les êtres masculin et féminin rayonnent mystérieusement dans le silence. Le visible s'adapte pour permettre la
survie, l'invisible transparaît pour insuffler la vie.
Une femme peut assurer la fonction paternelle et un homme la fonction maternelle, certes, mais une femme ne pourra jamais rayonner de la profondeur du masculin comme un homme de la profondeur de
l'autre sexe. C'est la loi naturelle. On n'y peut rien. Si la vie a un sens, il est très certainement enfoui dans la complémentarité homme-femme. C'est le bon sens. La logique qui nous tient au
réel.
En niant l'évidence on sort de l'expérience commune pour tomber dans l'abîme sans fond du relativisme.
Le mariage classique est une matrice du réel. Il plonge l'humanité dans le mystère des générations. Le mariage pour tous est un mirage sans fondement. Il plonge l'humanité dans le brouillard des
rêveurs.
Chaque journée est une occasion de se réveiller davantage. Ce 13 janvier 2013, embaumons la capitale du parfum de l'aurore : la famille.