*Jean-François Sivadier critique sur Allegro Théâtre"il a réuni une troupe d'acteurs (dont beaucoup sont des fidèles) qui ont le pouvoir d'illuminer les mots, en l'occurrence les alexandrins." et sur Ouest-France
* Le petit oignon : Constant Pietri Karamazov/Dostoievski Journal La Terrasse
"Une rêverie incarnée par la comédienne Catherine Pietri. "
*Confession d'un enfant du siècle" par la Cie du Trèfle avec Bertrand Farge au Théâtre du Marais Journal La Terrasse
*Jean-Pierre Daroussin dans La Nuit est mère du jour et Le Chaos est voisin de Dieu, Calme Calme de Jean-Pierre Daroussin à Nanterre de JL Martinelli Journal La Terrasse
Quelle relation entretenez-vous avec la scène ?J.-P. D. : C’est assez ancien, comme relation ! Je ressens un attachement très profond pour la scène, pour le théâtre. Je sais que c’est pour moi une nécessité. Je suis un peu dans la position de quelqu’un qui vivrait en ville, mais qui sait qu’il a besoin, régulièrement, d’aller faire un tour du côté des arbres, de la nature, qu’il a besoin de se ressourcer. Il y a une grande rapidité au cinéma, quelque chose de très immédiat. C’est un sprint permanent qui peut vous amener à prendre l’habitude d’utiliser des trucs. Revenir régulièrement au théâtre permet de continuer à découvrir des choses de soi que l’on ne connaissait pas, permet de faire le point, de voir l’avancée de son travail. Le défi de se laisser contaminer par un univers, de se laisser envahir de l’intérieur par un personnage, est quelque chose de beaucoup plus sensible, de beaucoup plus engageant au théâtre qu’au cinéma.