Le IOC, en anglais abréviations pour Concile International de l’Huile d’olive, à élaborer des méthodes pour mesurer la qualité de l’huile d’olive. L’université de Californie à Davis (UC Davis), en 2010, à testé 90 échantillons d’huile d’olive des cinq marques plus vendues aux États-Unis, dont Bertolli, très répandue aussi en France. Or, les cinq marques leader du marché américain d’huile d’olive n’ont pas passé les tests de qualité sensorielle. Une démonstration de plus que, si on veut une huile d’olive riche en qualités salutaires, gustatives et olfactives, il vaut mieux se fier aux petits producteurs, dont on aura contrôlé les méthodes de production, outre, bien évidemment, les qualités sensorielles de l’huile.
Résultats conformes aux normes du IOC pour les huiles d’olive extra vierge
Le tableau 2 ci-dessous montre les résultats basés sur les normes du IOC pour les huiles d’olive vierges extra. Le tableau 2 montre que, parmi les cinq marques d’huile d’olive « vierge extra » plus vendues aux États-Unis, 73 pour cent des échantillons (66 de 90 échantillons) n’a pas était conforme aux normes sensorielles du IOC pour l’huile d’olive résultant de l’analyse par deux panels sensoriels accrédités par le IOC.
L’UC Davis étude a révélé un taux d’échec même de 73 pour cent pour les cinq marques plus vendues (11 des 15 échantillons). L’UC Davis et les panels sensoriels australiens ont constaté que chacun des échantillons contenait des défauts sensoriels supérieures à zéro, en particulier le défaut de rancissement, qui est causée par l’oxydation (qui peut se produire avant ou après la mise en bouteille), et le défaut provoqué à partir d’olives qui peuvent subir un état avancé de fermentation avant le traitement. Ces défauts sensoriels sont des indicateurs que ces échantillons ont été oxydés, de mauvaise qualité, et / ou falsifié avec des huiles moins chères raffinées.
test de la qualité de l’huile d’olive des marques plus répandues aux États-Unis