The Neighbors // Saison 1. Episode 11. The Gingerbread Man.
Depuis que les Zabvronians ont fait leur apparition dans le monde civilisé, The Neighbors est devenue un peu plus fun. Disons que le côté
Tuperware hermétique de la banlieue respirant l'eau de Javel, ce n'était pas trop mon truc. Du coup, cette semaine The Neighbors a délivré ce qui pour moi doit
être le meilleur épisode de son histoire. D'une part car les personnages ne sont pas casse pied, mais d'autre part car il y a une scène mémorable dans cet épisode qui m'aura offert un joli fou
rire. Et au fond, c'est fait pour cela les comédies, pour rire non ? Du coup Larry Bird utilise son expérience de leader afin d'aider Debbie lors des réunions de parents d'élèves
afin de prendre la parole et dire ce qu'elle pense. Surtout quand il s'agit de faire face à Linda, une femme féroce qui ne veut pas laisser les autres faire ce qu'ils veulent. Le personnage,
incarné par Nora Dunn, va surement vivre la pire nuit de sa vie et nous le plus gros fou rire de l'année lorsque Larry Bird décide de lui faire peur en s'invitant chez elle sous
la forme d'un bonhomme en pain d'épice vivant.
Tout cela m'a bien évidemment rappelé Shrek mais au delà de ce qui semble être l'inspiration première des scénaristes, j'ai trouvé cela tellement farfelu mais aussi tellement
jouissif. Le rire est instantané et reste jusqu'à la fin de l'épisode alors que les scénaristes créent spécialement un running gag autour du personnage et de cette histoire. A juste titre, je
trouve qu'ils ne se prennent pas du tout la tête pour une fois avec quelque chose d'incompréhensible et préfèrent alors nous faire rire dans un lieu différent avec du comique de situation...
cosmique. Cette partie de l'épisode était vraiment bonne et pour une fois je n'avais pas envie de tarter Debbie alors que depuis le début, j'en ai un peu ras la casquette des
Weaver. Leur air niais de famille moyenne caricaturale américaine ne me plait guère. Mais ce n'est pas grave car au fond, avec des épisodes comme celui ci, on nous prouve que les
défauts peuvent se gommer. Pendant ce temps, Jackie tente d'aider Marty pour coacher l'équipe de football de l'école jusqu'à ce sa nature compétitive prenne le dessus.
Note : 7/10. En bref, un bon épisode de The Neighbors. Une belle surprise avec un fou rire à la clé. Pour une fois, merci Dan Fogelman (le créateur de la série).