Ruelles, passages et autres allées Bernayenne...(1er partie).

Par Unevillemaville2
Si Pont-Audemer et dit-ont, la "Venise Normande" avec s'est ruelles, s'est cours d'eau.
Bernay, notre cité, être celle des ruelles et passages piétonniers.
Un bon nombre d'entre elles permettait jusqu'à il y à peux, de passer d'une rue à l'autre.
Et je trouve cela intéressant de vous parler (reparler) de ce sujet-là.
En effet, j'avais, il y a quelques années de cela déjà parler du même sujet avec des photographies montre des ruelles, des passages d'un côté de la ville (celui qui va vers le boulevard Dubus).
Alors, dans cet article-ci c'est le côté vers le Cosnier vers les monts dont je vais parler aujourd'hui.
Alors, tous d'abord, il faut bien faire le distinguo entre une ruelle, un passage et une allée.
En effet, une ruelle était au départ ce passage que nous laissions autour de nos lits pour le retaper.
Un passage lui et un moyen de faire ce rejoindre des rues entres elles et faites de :
"Petites rues passantes sous le premier étage des maisons" (1).
L'allée enfin, elle ce défini ainsi :
"Chemin assez large, bordé d'arbres, de verdure, qui sert de lieu de promenade ou de voie d'accès dans un jardin, un parc, un bois" (2).
Donc voilà qui est, je pense, plus clair (rire).
Alors, si vous le voulez bien, souvenons-nous des grands passages devenus plus tard galeries commerciales comme à Évreux, Paris, Nantes, etc., mais aussi, et surtout souvenons-nous de celles que Bernay à pus avoir un temps en son sein.
Alors, si une allée (nous l'avons lus plus haut et grande et espacé pour ce que j'appelle, moi, de nos "Allées" locales, celles-ci étaient des sortes de chemins soit en terre, soit en pierres et/ou pavés qui se trouvent être assez étroit border, tenue et/ou faite grâce aux murs des maisons mitoyennes et qui vont (pour l'essentiel de notre ville) jusqu'à la rivière.
Les habitants alors allés au bout de ces allées pour soit, laver leurs linges (quelques beaux restes de lavoirs privés sont encore visibles sur les pourtours de la ville.
Où soi moins belle image j'avoue, même si cela semble moins agréable voir incroyable (dans les années 50 - 60) mais véridiques pourtant, certains donc allées permettez d'aller simplement vider leurs seaux de nuits.
Oui, sachons dans les grandes lignes Bernay n'a eus les sanitaires, l'eau courante, etc., dans les maisons (excepter les bourgeois évidemment) qu'après la Seconde Guerre mondiale.
Cela nous fait voir quand même que ce n'est pas bien loin de nous non, cela fait soixante ans à peine.
Je ne refais pas l'histoire de celle-ci non (rire), mais juste pour dire que, et bien, elle me manque un peu quelques pars toutes c'est ruelles, tous c'est passages et allées.
Pour faire un vrai tour de la ville de ce sujet, commençons si vous le voulez bien par la rue du Général de Gaulle.
Seul le passage de feu l'hôtel d'Angleterre du cheval blanc existé.
Qui permettez alors aux calèches de l'époque de passer de l'entrée de l'hôtel jusqu'au boulevard tout près de la gare.
Ensuite rue Gabriel Vallée ont en compte quand même trois.
Certaines en vue libre d'autres en poussant une ou deux portes-cochères.
SUITE DE CET ARTICLE SAMEDI…