En entrant dans la salle, je ne connaissais que le titre du film que j’allais visionner : Un Prince presque charmant. Je pensais voir un dessin animé. Imaginez donc quel ne fut pas me surprise de découvrir une production EuropaCorp avec Luc Besson himself en co-scénariste au côté du réalisateur Philippe Lellouche.
Pour sa seconde réalisation (après Nos plus belles vacances), Philippe Lellouche (le frère de Gilles) fait appel à Vincent Perez pour jouer un business man infâme qui doit se rendre au mariage de sa fille dans le Sud de la France. Une grève nationale menace le pays et donc le bon déroulement du mariage et ce sera un long voyage initiatique que le héros entreprendra pour arriver à destination complètement changé… en prince charmant donc !
Vincent Perez est parfait. Il est beau comme un cœur et fera craquer toutes les filles. Les Jules qui auraient la bonne idée d’accompagner leur belle seront tout aussi ravi de découvrir Vahina Giocante tant elle est pétillante et envoutante. Malheureusement, on ne peut pas en dire autant du scénario et du film. Tout est cousu de fil blanc et prévisible. Mais ne va-t-on pas voir une comédie romantique pour ça ?
Il y a aussi un troisième personnage important dans le film : Zoé, la voiture électrique que Vincent Perez conduit tout au long du film. « Le choix d’une voiture plus écologique et moins bruyante est une métaphore directe des changements qui s’opèrent dans le comportement du personnage principal » ai-je pu lire sur le site allocine.fr. Pour ma part, je l’ai plus ressenti comme une pub non déguisée…
Jean-Marc, quadra carriériste et pressé ne cherchant qu’à satisfaire ses intérêts personnels, va croiser malgré lui la route de Marie. Tout oppose cet homme d’affaires et cette jeune femme éprise de liberté et de justice. Ces deux-là n’auraient jamais du se rencontrer et pourtant la vie en a voulu autrement…
Sortie : 09/01/2013
Durée : 1h28
Année de production : 2012
Genre : Comédie Romance
Origine : France
Réalisateur : Philippe Lellouche
Acteurs : Vincent Perez, Vahina Giocante, Jacques Weber