C'est une honte qui arrive parfois dans ce monde, le genre de chose que l'on ne peux pas croire et pourtant... Une dame âgée de 94 ans a été purement et simplement mis à la porte de sa maison de retraite ! Elle n'a rien fait de particulier pour mériter ça, sauf de ne pas avoir eu, visiblement, les moyens de payer son loyer ! Après plusieurs mois sans paiement de la vieille dame, l’établissement basé à Chaville en Région-Parisienne n'a pas eu comme d'autre solution que de l'expulser en plein hiver de surcroît, ce qui est totalement illégal !
Pour la virer le plus vite possible, la maison de retraite à appelé une ambulance et mis la dame dedans, avec toutes ses affaires personnelles pour l’amener chez son fils dans l'Eure-et-Loire avec la consigne que s'il n'était pas à son domicile, de l'amener à l’hôpital de Châteaudun.
L'hôpital choqué réagit : « C’est la première fois que nous sommes confrontés à une telle situation », confirmait, hier, un membre du personnel de l’hôpital dunois. Nous avons contacté la maison de retraite en question, mais elle a refusé de reprendre sa pensionnaire... C’est honteux et complètement illégal en pleine trêve hivernale qui interdit les expulsions, y compris des établissements de santé. L’hôpital va d’ailleurs faire un signalement à la gendarmerie. »
Le fils de la vielle dame devrait rejoindre sa mère ce lundi et l'hôpital en prendra soin !
En tout cas, espérons que la maison de retraire soit très lourdement sanctionnée ! Voilà comment certains établissements qui doivent accompagner et aider à une fin de vie la plus douce possible de nos anciens, les traites ! C'est scandaleux ! Twitter se mobilise, en ce moment, pour dénoncer ce scandale !
MISE A JOUR : La direction à réagit ce soir !
La nonagénaire exclue de la maison de retraite dans laquelle elle vivait à Chaville, dans les Hauts-de-Seine devrait être réintégrée dans l’établissement. C'est ce que le directeur d’exploitation du groupe assure !
« On est sincèrement mortifié de cette situation mais nous n’avions pas d’autre choix. En trente ans de métier, je n’ai jamais été confronté à une telle situation. »
Selon la direction, la nonagénère devrait 40 000 euros de loyer. Elle a été placée par ses enfants mais ils n'aurais pratiquement jamais payés les frais d’hébergement
« La situation ne pouvait plus durer, explique Laurent Boughaba. Il y a un mois et demi, pour les faire réagir, nous n’avons pas trouvé d’autre solution que de rompre le contrat. Nous avons écrit plusieurs lettres recommandées au fils qui s’occupe administrativement de sa maman pour lui demander de la prendre en charge. Nous lui avons téléphoné une dizaine de fois. Mais il n’a pas réagi. Nous avons alors pris l’initiative de faire reconduire sa mère à son domicile, à Brou. »
Une décision « maladroite », reconnaît le directeur : « Mais on ne s’attendait vraiment pas à ça. »
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