- que les derniers mots d'Albert Einstein furent en Allemand. Mais l'infirmière qui était à son chevet ne comprenait pas cette langue. Nous ne les connaitrons donc jamais. Il avait peut-être trouvé la solution à l’immortalité, au dernier carat. L’infirmière aurait quand même pu noter les infos en phonétique ! Ça n’aurait peut-être pas intéressé tout le monde, mais, comme pour le reste, il vaut mieux avoir l’information et ne pas s’en servir que de ne pas l’avoir du tout. Il en va de même des choix, c’est mieux d’en avoir, que pas. Comme les moufles par grand froid, me diront les plus pragmatiques. Certes, certes, leur accorderai-je, tous les commentaires sont recevables, considérant qu’ils peuvent tous êtres discutés.
- que Georges Marchais, François Pinault, Michel Drucker, Jean Paul Gaultier, Fabrice Luchini, Gérard Depardieu, Alain Delon ou encore Zinedine Zidane, n'ont pas eu le bac. Faudrait-il étudier le curriculum vitae de chacun des hommes cités, leur parcours, leur métier, leur carrière, leur fortune pour se faire une idée de l’importance du diplôme ? Faudrait-il au contraire les interroger à coups d’indice de bonheur, sonder leur entourage, leurs proches, leurs amis, afin de se faire une idée sur leur qualité de vie et ainsi quantifier dans un destin l’importance de l’obtention du fameux diplôme ? Ou certains me diront-ils que des listes de célébrités n’ayant pas fait ceci ou n’étant pas passées par cela sont parfaitement réalisables au whisky, à gogo, et au whisky à Go Go comme ailleurs ? Certes, certes, leur accorderai-je, tous les commentaires sont recevables, considérant qu’ils peuvent tous êtres discutés.
- que sur Mercure on enregistre des écarts de température d'environ 600 degrés Celsius. La journée, la température peut monter jusqu'à 430 degrés et, la nuit, elle descend à -170 degrés. Ce type de faits scientifiques peut-il être utile un 5 janvier 2013 alors que nous savons à peine aller sur Mars, qu’aucun homme n’y a jamais mis les pieds et que l’escapade n’est prévue ni demain ni après-demain ? Doit-on s’en inquiéter en supposant que si, un jour, nous trouvons moyen d’aller sur Mercure, il est fort probable qu’on aura aussi trouvé moyen de résister à de telles températures ? Ou d’aucuns me diront-ils que ces mesures sont essentielles à la connaissance de l’espace en l’espèce pour l’espèce par les diverses agences qui consacrent une énergie capitale pour développer des programmes complexes et sophistiqués afin de faciliter la vie des générations futures, hors sol, hors Terre si besoin ? Certes, certes, leur accorderai-je, tous les commentaires sont recevables, considérant qu’ils peuvent tous êtres discutés.