Koyolite Tseila écrit : Imaginez que dans un futur proche, l’Humanité ait construit des vaisseaux spatiaux permettant de voyager dans notre espace. Imaginez que celle-ci s’établisse sur les lunes – sous terre ou sous des dômes – des planètes du système solaire. Imaginez alors son évolution et les possibilités qui vont s’ouvrir à elle, avec, à la clé, une étonnante découverte dans les brumes glacées d’Uranus…
« Les Précepteurs d’Urgaïa » est la suite directe du livre « Le dernier Voyage de l’Albatros », ouvrage que j’avais beaucoup apprécié et qui posait les fondements de l’univers « on ne peut plus réaliste » mis en place par Marc Feuermann. Un univers qui mélange science et science-fiction.
Avec ce second roman, et sa tournure plus politique, cet univers gagne en profondeur. C’est un space opera riche de par le développement et les actions de chacun de ses personnages et mondes. Cet ouvrage est encore meilleur que le premier, car plus approfondi, plus abouti.
De plus, cet ouvrage transpire de passion, celle de Marc Feuermann pour la planétologie. Et cette passion est communicative ! En effet, j’ai lu beaucoup de livres de science-fiction, mais cet ouvrage-ci est l’unique qui a produit sur moi un sentiment aussi fort de « réalité », à tel point que j’ai économisé ma lecture, afin de savourer chaque passage où il est question des astres de notre système solaire. Les descriptions sont si précises et si bien écrites, qu’on s’y croirait vraiment. La porte de l’exploration spatiale n’a pas seulement été ouverte, mais carrément franchie. Dans aucun autre livre ayant pour sujet le système solaire je n’ai retrouvé une impression similaire. En ce sens, ce livre est pour moi un coup de coeur.
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