C’est d’abord l'action inlassable pour la croissance, la compétitivité et l’emploi. Tout doit être mis en oeuvre pour répondre à l'urgence sociale causée par le chômage comme aux défis du temps long. C’est le sens des emplois d'avenir et des contrats de génération notamment ; du redressement des finances publiques pour reconquérir notre souveraineté face aux marchés ; du renforcement de notre appareil productif par le soutien aux PME, aux ETI, aux filières d’avenir ; de la priorité à l'investissement - dans l'industrie et l'agriculture, dans les infrastructures de transports et pour les énergies ; de la négociation sociale qui est engagée ; de la refondation de l’école pour gagner la bataille de la matière grise ; de la réorientation engagée de l’Europe.
Une France plus forte, c'est aussi une France plus juste : dans l'action pour garantir les services publics sur l'ensemble du territoire national ou encore dans la répartition équitable des efforts avec, notamment, le réaménagement de la contribution exceptionnelle sur les plus hauts revenus.
Enfin, une France plus forte, c’est aussi une France qui modernise sa vie démocratique et son action publique : dépense publique performante, nouvel acte de la décentralisation, non cumul des mandats, justice indépendante et respect des contre-pouvoirs.
Cette feuille de route déclinée par le Premier ministre aura le soutien actif et constant du Parti Socialiste, de ses élus et de ses militants qui savent que le redressement du pays est leur tâche historique.
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Guillaume BachelaySecrétaire national à la coordination
Député de la 4e circonscription Seine-Maritime (76) -
Alain FontanelSecrétaire national aux fédérations - Conseiller auprès du premier secrétaire
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