Magazine Humeur

Bonne année!!!

Par Basicinstinct82

Cette année, qui s’en va, après nous avoir bercée des revers tumultueux des distorsions théoricodoctrinales à l’origines des crises et récessions économiques et financières de ces dernières années et nous aura entraîné  du terrain décidément incandescent des conflits en tous genres, aux fastes de la jouissance des peuples des bienfaits de la modernisation, partout ailleurs, les progrès technologiques significative, notamment en nanotechnologie, l’alternance politique intervenue en France, la réélection de Barack Obama aux USA, l’échec politique cuisant dans la conquête du perchoir, de S Royal, l’invasion du nord du Mali, descriptive d’un pic vertigineusement inquiétant de l’Islamisme radial, sur le continent noir, nous lègue un sentiment d’insatisfaction, de mutisme, de compassion et de remobilisation autour des questions qui divisent plus qu’elles ne rassemblent, qui privent les uns au profit des autres, qui fustigent plus qu’elles n’offrent de réelles perspectives d’accommodation des approches aux problèmes, et finalement lesquelles, s’affublent de rétractations confinantes pour bien de présupposés clivant, les relations internationales.

Insatisfaction, lorsqu’il aura fallu, au monde de s’émouvoir de l’envergure des questions déterminantes et cruciales émaillant le devenir des nations, notamment l’éradication des pandémies, la décrue de la pauvreté, la malnutrition, la mortalité infantile, l’exploitation et le travail des enfants, la baisse croissante du niveau de vie au sein des pays supposés riches, j’en passe, ainsi qu’y apporter des solutions au prorata de l’adjucation faite de la disponibilité et la répartition des ressources à l’échelle planétaire. En cela, l’année qui s’achève, n’aura pas suffi, à lever du coin du voile, les nombreux dysfonctionnements des missions humanitaires et inadéquations des politiques de lutte contre la pauvreté des organisations internationales et régionales, avec la définition d’une plate forme d’action efficace  s’extirpant du cercle exigu des pratiques érodantes et suffisamment, illustrées par le seuil de réalisation des OMD.

Parmi ces questions, qui paraissent constituer le socle des défis majeurs auxquels fait face l’humanité, il y’a bien évidemment la prévention et la gestion des conflits, corrélativement aux nouvelles donnes géopolitiques, qui reviennent sans cesse dans le polar des inédits de la diplomatie internationale, au point que de l’Afghanistan, en passant par l’Irak, le conflit Israélo-Palestinien, les rives du grand lac, jusqu’en Cote d’Ivoire et le nord du Mali, on en a l’exégète factuelle, en sachant d’entrée que l’Afrique vient de nouveau s’y confronter à de nouveaux défis de tailles, alors même qu’elle s’apprêtait à engranger une part importante des investissements étrangers.

Ainsi du rétablissement progressif de la paix en Cote d’Ivoire, à l’invasion du nord du Mali, suite à une série d’évènements géopolitiques, notamment l’impact des révolutions Arabes sur la chute des régimes entiers et vieux de plusieurs décennies,  nous aurions eus à procéder à une lecture nouvelle, des points d’achoppements de la courbe d’évolution politique du continent noir, à travers des paramètres, aussi bien incluant les données ethno-sociologiques, qu’impliquant à haute échelle, les marges d’action économique, segment de l’émolument en rayonnement politique, lui-même à l’aune d’une certaine maturité et de la capacité avérée à consolider les acquis du développement.

Mutisme coupable observé sur les sujets brûlants  pourrait-on s’imaginer, lorsque le constat émanant de la consolidation du processus de démocratisation du continent, vient mettre à nue la modulation des accords diplomatiques internationaux, en fonction des zones d’influences, alors même que les données diplomatiques et géostratégiques ne s’y adonnent point, de par la baisse considérable du seuil des antagonismes et la gestation d’un nouvel ordre globalisant les relations internationales, dans un réceptacle économmico-financier, à l’avant garde des présupposés de l’atteinte d’un seuil minimum de bien être  à savoir, soutenir, l’effort de développement par une imbrication au summum des archétypes de la bonne gouvernance avec la définition de tout socle de coopération et le soutien apportés au continent.

A ceci près, loin de demeurer amnésique, de la panoplie d’efforts consacrés, quelque fois, vainement à conforter le sort du continent, ainsi que l’assortir, selon qu’il soit de réactivité économique ou de sursaut démocratique, d’une marge d’action conséquente et nécessaire à son expansion, il ne saurait me venir à la cervelle, qu’un souci constant et avéré, d’en référer au génie humain, de dépoter, la concentration dans la sphère du leadership politique, de l’ensemble des initiatives d’appropriation collective, des ressources, au contrario, d’une homologation des procédés et de leur élargissement à des aspects spécifiques, jusque là, in contenus  et surtout en appoint à la révolution des mentalités, sacre de l’aptitude et la capacité à conjurer, l’estrade des dérives, tout en validant l’introspection des valeurs, ainsi que, les résultantes de toutes les formes d’accommodation de l’approche faite du développement avec les grappes d’innovation politique et économique.

Parler de compassion en cette fin d’année, nous amène à rendre, un vibrant hommage à tout ceux qui ont ôté  leur vie pour en sauver plein d’autres, ainsi que tout ceux qui auront péris soit à travers des crashs aériens, lesquels remettent sans cesse à l’ordre du jour, l’épineuse question de la sécurité de l’aviation civile au sein des pays au seuil de développement mal avéré, soit à travers une quelconque catastrophe naturelle, puisque, cette année qui finit n’aura pas manquée d’évènements en la matière, sans jamais oublier, les victimes de conflits tribaux, de guerres civiles, j’en passe…

Sur ce, la remobilisation autour, de la résolution des questions cruciales qui font et défont les conflits d’intérêt  à l’échelle des états, sans aprioris politiques débordants du cadre naturel du retour sur investissement, nourrissent les antagonismes et font obstruction à la formation de microcosmes et plateformes de réactivités universelles, face aux périls, menaces et conflits, mériteraient de s’inviter au menu des voeux de cette nouvelle année.

Par ailleurs, l’élection de F Hollande en France et la réélection de B Obama aux USA, doivent consacrer le franchissement d’un pas décisif, dans l’émergence d’une planète aux confluences de la lutte contre la pauvreté sous toutes ses formes, la protection accrue des réseaux hydrographiques et leurs sources, ainsi que le défi de la transition énergétique, bien que le socle des relations diplomatiques internationales, y compris l’ordre économique, soient régis par des principes décriés, parce que, peinant à s’extirper de l’abominable carcan de la prédation des richesses d’antan, et leur spoliation, méritent aussi de figurer parmi ces voeux de nouvel an.

à suivre!!!!!

Aujourd’hui, je marque 38 ans au compteur de ma vie pour être né, un 02/01/1975



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