Par un hasard dont on fait les histoires bien à marées, nous avions été conviés à l'inauguration du Golf Club du bout de la plage.
Il se trouve que cette date d' ouverture coïncidait avec une fête locale très prisée dans le tabac des coups de vent et qui consistait à embrasser tout ce qui bouge encore, à minuit sous les piles de la digue dondaine.
Bref,
le lendemain, on comptait sur les doigts de pied, les fréquentations mollement disposées à prononcer leur expertise de baballe sous les décibels de sa mer et le bain de mousse à l'écume de jour.
Très rapidement, dans le déroulement de l'action et par la conjugaison de conjonctures complexées,
nous perdîmes la balle de match.
Seule et unique balle
d'ailleurs.
Les prétentions du club étant -volontairement ou pas- modestes
...
Pendant que le seul désigné disponible en dépôt
essayait en vain de retrouver dans le bac à sable
la balle de circonstance,
(c'était un peu comme chercher une balle de golf dans une meute, et de loin.)
les autres membres habillés d'éminence
se replièrent
en ordre
et dans le calme
vers "Le Terminus"
Turballe-istique
qui avait tous les guides pour lui
et une table près de la fenêtre
pour mieux suivre
les impressions d'un jour dolent.
Et comme on dit dans ce cas-là, enfin il me semble,
Bonne Année
Et que le cul nous pèle.
Résolution d'incertain début de Moa
"Du sport, encore du sport, toujours du sport."
Bouge ton port,
Vire des bords,
Swingue d'abord.
Et danse avec
les corps-mort
qui ont la dalle
au bord
de la page
Stage en résilience:
Famille yop! la Boum
je demande ...
la mère, le fils,
le yaourt...