Bien que l’homme soit l’espèce la plus intelligente et dominante de la planète, il a besoin de se sentir fort. Il est doté d’un vilain défaut : individualiste, il est parfois prêt à tout pour arriver au pouvoir.
Par conséquent il est en compétition avec lui-même soit pour sa survie, soit pour satisfaire ses prétentions. Pour réussir dans la vie, il faut une chose : être supérieur aux autres.
Cependant cette nature à vouloir se concurrencer les uns les autres, combinée à l’intelligence, fait que l’on a tendance à ignorer des problèmes que cela engendre : pouvons-nous nous permettre de dire que tout va bien sur Terre, quand l’homme se comporte de certaines façons? Guerre, pauvreté, misère, indifférence, corruption et surtout destruction de la planète.
Si tout le monde s’entraidaient sur terre, beaucoup de problèmes n’existeraient pas ou seraient déjà résolues. On n’aurait pas besoin par exemple de fabriquer des armes.
Mais le Monde à quoi se limite-t-il? C’est tout ce qui vit et qui nous entoure, c’est-à-dire la Terre.
On dit que l’union fait la force, mais s’il n’y a pas d’adversaire en face, alors à quoi cela sert d’être « fort » ?
Le jour où l’on découvrira que nous ne sommes pas seuls dans l’univers, il est possible que cela ait un impact sur la nature humaine.
Premièrement on partagera une vision du Monde qui sera différente mais surtout commune, ce qui créera une sorte de lien entre les personnes issues de cultures différentes.
En outre, notre but ne sera pas que tous les pays essayent de se dominer les uns les autres, mais que notre planète domine les autres.
Au stade où l’homme est arrivé c’est-à-dire avec ses connaissances scientifiques, deux destins peuvent survenir:
-Soit il s’auto-extermine (l’exemple d’une bombe nucléaire rendant la Terre inhabitable est le plus typique, même si nous sommes capables d’inventer d’autres armes tout aussi dévastatrices).
-Soit on découvre que l’on n’est pas seul dans l’univers et cela pourrait laisser à penser que la cohésion au sein du peuple terrien serait renforcée, ce qui permettrait de prolonger l’existence de notre civilisation au-delà de nos avancées scientifiques.
Pourquoi alors ne pas supposer que la réponse au mystère « sommes-nous seul dans l’univers » soit la clé qui permette de sauver l’humanité ?