Arrivé à La Jasserie, c'est très blanc, en effet. Quel est le con qui a oublié les raquettes ? c'est moi. Tant pis. En revanche, il y a un vent abominable, hostile au point qu'on se demande ce qu'on a pu lui faire... Je monte dans la neige jusqu'au Crêt de la Perdrix. La vue est superbe, tout autour de la table d'orientation : Jura ? oui. Mézenc ? oui. Cantal ? oui. Rochecourbe ? oui. Sancy ? oui. Et les massifs alpins enneigés, magnifiques.
J'ai en tête l'idée d'aller manger au Crêt de l'Oeillon. Le vent y est plus terrible encore, sauf protégé de la Croix. Alors demi-tour, et un rocher rencontré plus loin fera office d'île propice. Un chien m'a suivi, pensant certainement que j'allais lui donner à manger, il a manqué un peu de patience. Retour un peu aléatoire à La Jasserie... et au chaud !