Bonjour Théoma
Bonjour Véro
Bonjour Mister In Cold Blog
Bonjour les zotres
Une sélection très bilantielle et livresque cette semaine ponctuée de quelques idées cadeau, époque oblige. Il faut cliquer sur le mot quand pour accéder au message d'origine.
Quand Théoma dresse le top 10 de ses lectures 2012
Je n'ai lu qu'un seul de ces livres, celui que Théoma classe en première position de son top 10 mais voilà, moi je ne l'ai pas aimé du tout (je dis pourquoi ici )! Mais il y a pire. Non seulement je n'ai lu aucun des 9 autres livres, mais je n'en ai jamais entendu parler ! J'éprouve de plus en plus souvent cette sensation de décalage et d'ignorance lorsque je visite les blogs consacrés aux livres désormais.
Elle propose plein d'idées cadeaux livresques pour tous les goûts et une idée amusante de planisphère en fonction du lieu de l'intrigue des romans cités.
Quand Mister IcB répond
Mister IcB répond à un tag qui tourne depuis quelques jours sur la blogosphère et auquel Daniel m'a soumise également. Comme d'hab ce qu'il dit est intéressant et fort bien illustré par une photo vertinigeusement belle !
Après avoir lu la critique de la Pyrénéenne consacrée à Que nos vies aient l'air d'un film parfait de Carole Fives, j'ai su que j'allais lire ce roman. Je me suis aussi souvenue que j'avais lu d'elle un recueil de nouvelles que j'avais beaucoup aimé intitulé Quand nous serons heureux, lauréat du Prix Technikart (2010). Hélas, je n'avais pas rédigé de critique à l'époque mais je crois me souvenir que, déjà, elle aurait voulu un titre emprunté à une chanson de Lio. Il faudrait que mes bonnes résolutions 2013 intègrent la rédaction de critiques en retard sur des livres aimés.
Chrys évoque L'amour sans le faire de Serge Joncour, auteur que j'apprécie particulièrement et dont j'ai déjà lu 4 ou 5 romans et un magnifique recueil de nouvelles évoqué ici. Sont-ils tous chroniqués sur ce blog? A vérifier et si tel n'est pas le cas il va falloir que j'applique la bonne résolution évoquée un peu plus haut.
Bref, j'aime Joncour. J'aime la délicatesse de son écriture, la subtilité et la finesse avec laquelle il aborde ses sujets, la tendresse et la profondeur avec laquelle il dépeint ses personnages.
Quand un mythe s'écroule
J'avais très envie de lire la vérité sur La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert de Joël Dicker jusqu'à ce que je lise la critique de Philistine ou, plus exactement, jusqu'à ce qu'elle dise que le roman séduira le lectorat de Musso, Levy et Pancol. Pour moi, elle ne pouvait trouver pire repoussoir. Comment un roman peut-il être ensencé par la critique (y compris Eric Naulleau qui lui prédisait le Goncourt), recevoir le Goncourt des Lycéens et le prix de l'Académie française et viser le public qu'elle évoque ? Pour moi c'est totalement antinomique et incompréhensible. Bref, il faut qu'on m'explique.