Cela rejoint ce que dit Jean-Baptiste Fressoz, en ce qui concerne, plus généralement, la marche du progrès, qui n’a fait que nous en masquer les risques (et enrichir les assurances). Et une de mes idées, tirées des limites à la croissance : un avenir probable est une série de crises. Mais je n’en avais pas tiré toutes les conséquences possibles.
C'est le printemps ! En attendant l'apocalypse.
D’un autre côté, la guerre de 40 a été une crise, et elle n’a rien résolu. Peut-être faut-il inventer autre chose que la crise ? Au travail, Tobie Nathan ?