Ce fantasme peut se lire de deux façons. La peur de l’individu d’être asservi. Mais aussi sa volonté de soumettre la société à son bon plaisir.
Une autre chose m’a frappé. Ceux qui massacrent et les héros de The wild bunch sont généralement extrêmement limités intellectuellement. (A l’image du Stallone des Guignols de l’info, ou de Ronald Reagan, président vénéré.) Ce qui m’amène à me demander si ce que ces gens trouvent menaçant dans la société, et ailleurs, ce n’est pas justement sa complexité. La complexité serait le mal, et le bien les idées simplistes du QI réduit ?
Bérézina d’un de mes traits de génie ! J’ai cru que l’on pourrait guérir l’homme de l’intolérance, en lui montrant que son prochain n’était ni bien ni mal, mais respectable, car, justement, complexe.