Le peuple espagnol se révolte et va le payer très cher. Francisco Goya, lui, n’a que ses pinceaux pour hurler, mais ses hurlements vont devenir universels. Il ne se mettra peindre des natures mortes d’une cruauté insoutenable. Des métaphores qui vont précipiter toutes « les peintures de guerre » peintes avant et après lui dans les grandes bennes à ordures de l’histoire de l’art. Pas pris une ride, le Francisco Goya. Muchas gracias amigo…You are the best !
Et maintenant, imaginons un instant que le pêcheur qui avait capturé le saumon représenté dans ce chef-d’oeuvre, l’avait remis à l’eau car il l’aurait pris dans un » No-kill « . Fini le chef-d’oeuvre ! Plus de chef d’oeuvre !
Et qui c’est qui serait bien emmerdé ? LE MONDE ENTIER !