C’était quoi 2012 ?
En préambule, voilà la playlist à peu près complète :
C’était ces émiratis lol en bagnole.
C’était ce mystérieux redneck qui fait tout sonner juste quand il joue faux.
C’était ce Jake Gyllenhaal sorti tout droit d’un Bret Easton Ellis qui vous donne envie de tuer un hipster au fleuret
C’était le rock psychotrope et souriant de Tame Impala (meilleur album de l’année pour moi)
C’était ce débile philosophe d’Andrew WK qui nous montre sa guitare-pizza et nous prouve que les innocents sont bénis
C’était du RNB des familles…bah oui, ça arrive
C’était cette question : « do I feel love like all the others or is this feeling only mine ? »
C’était le retour de la pop brumeuse/sensuelle/déprimée des XX
C’était ce petit gros qui fait de l’électro compliquée avec des clips rigolos
C’était la fin d’un couple Danois magnifiée par un bien joli clip
C’était ce cri extatique qui donne toujours envie d’appuyer sur le champignon, de courir, de hurler. Le clip est affreux et lent par contre.
C’était la voix timide de Chris Cohen entourée d’instruments bruyants
C’était un mec en costard qui se baigne dans du lait. Dit comme ça on dirait du Nicky Minaj
C’était brokeback night club. Attention : manifestants du 13 janvier, s’abstenir
C’était tout simple de faire une bonne chanson
C’était pas MIA, non elle c’était Santigold
C’était le mec de Grizzly Bear et aussi le mec de Department of Eagles qui est désormais aussi un mec tout seul
C’était le rock
C’était des albums pas si bien mais pas si mauvais
C’était le meilleur concert de mon Pitchfork festival
C’était un objet non-identifié assez fascinant. Ne pas diffuser en soirée.