Me Gilles Antonowicz, avocat de Chantal Sébire et vice-président de l'ADMD, s'est saisi du dossier d'une septuagénaire domiciliée en Loire-Atlantique, atteinte de la maladie de Charcot. La victime anonyme dit être une ancienne infirmière de bloc opératoire :
"Je connais exactement la maladie dont je souffre. Je connais aussi les soins palliatifs. Ils ne résoudront rien à ma douleur".
Voilà qui est étonnant : on ne voit pas pourquoi les soins palliatifs seraient soudainement inutiles. Ou plutôt si, on voit très bien pourquoi... Dommage de refuser ainsi la médecine, car celle-ci fait des progrès, y compris dans ce domaine (voir aussi ici).
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 10 octobre à 11:57
Votre commentaire est calomnieux et pitoyable. Savez vous seulement de quoi vous parlez? Je pense qu'une expérience d'accompagnement de fin de vie d'un être cher serait d'un grand profit pour votre réflexion, hélas. Maî