En clôturant l’Assemblée plénière, le cardinal André Vingt-Trois est revenu sur la réflexion des évêques à propos de la bioéthique. Il a précisé que la volonté des évêques est de
"contribuer à empêcher notre culture et notre société de sombrer dans la fascination pour la mort. Notre société doit être tout entière mobilisée pour favoriser et soutenir la vie, et la soulager quand la souffrance l’envahit. (…) Nous voulons contribuer à briser les tabous qui enferment trop de nos contemporains dans un conformisme du renoncement devant les défis de la vie. Nous voulons que la liberté de conscience soit non seulement affirmée formellement, mais encore qu’elle soit effectivement possible et respectée dans les domaines de la recherche comme dans les services de soins. Tout ce qui est techniquement possible n’est pas nécessairement bon pour la personne qui le subit ou la société qui l’autorise".