Pensées pour nous-mêmes:
(POUR NE PAS REGRETTER
TES MAUVAISES ACTIONS
N'EN COMMETS PAS)
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(Le lapin blanc d'Alice avait viré de bord)http://see-you-cowboy.tumblr.com/page/2+++
"S'il y a de l'uranium dans mes munitions?Et pourquoi pas des carambars, tant que vous y êtes?"metrofrance.com
Irak : après les feux de la guerre, les cancersAgnès Stienne (...) La situation environnementale de l’Irak est calamiteuse. En cause, les industries polluantes et l’absence de règlement pour les contrôler. Les guerres et les insurrections qui ravagent le pays depuis trente ans ont, elles aussi, des conséquences désastreuses sur l’environnement, notamment lorsque pipelines et sites industriels sont bombardés. Mais ce n’est pas tout. Il semble (il semble...) que les munitions utilisées pour soumettre les villes irakiennes pendant la guerre du Golfe (1990-1991) et l’invasion en 2003 par les Etats-Unis et ses alliés (Lire « Une guerre à mille milliards de dollars », Défense en ligne (blog du Monde diplomatique), janvier 2011) soient devenues un agent majeur de pollution environnementale, avec de graves conséquences sur la santé publique. « Atomisées » dans la nature lors des bombardements, elles continuent de tuer à petit feu les populations civiles plusieurs années après que les combats aient cessé. Les militaires réfutent, la science dénonce.(...) En 2005, le programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), dans un rapport intitulé « Assessment of environmental hot spots in Iraq », estimait à plusieurs milliers le nombre de zones contaminées cumulant — à des degrés divers — pollutions industrielles et contaminations militaires. Plus de trois cents « points chauds » — comprendre hautement toxiques —, ont été identifiés, parmi lesquels quarante-deux sites concentrant des taux considérables de dioxine et d’uranium appauvri, et dont dix avec des taux très élevés de radioactivité.(...)Utilisation de munitions à uranium appauvriCarte : Agnès Stienne, 2012. On retrouve une forte accumulation de dioxine aux abords des installations industrielles détruites pendant la guerre du Golfe, alors que la stratégie consistait à pilonner systématiquement les sites industriels civils et militaires, pipelines et raffineries. Dans la région de Bassorah, l’une des plus touchées par les bombardements, c’est un véritable désastre sanitaire. « Business is business » : après 2003, la priorité fut donnée à la remise en service des installations pétrolières et gazières. Hélas, les pluies de pétrodollars — loués par M. Blair — n’ont pas encore réussi à lessiver les zones contaminées. L’uranium appauvri, interdit par certains pays, provient des munitions utilisées par la coalition en 1991 et 2003 [1]. Ce métal lourd a les faveurs de l’industrie de l’armement en raison de son fort pouvoir de pénétration des matériels blindés. Une fois la charge explosée, ce composant chimique se disperse et s’infiltre dans le sol et dans l’eau, occasionnant des pollutions durables dans les rues, les jardins, les champs ou les aires de jeu pour enfants… Il contamine aussi les soldats sans que le commandement ne s’en émeuve (étonnant...). D’autres métaux lourds, comme le plomb et le mercure, entrent dans la composition des munitions et se retrouvent aussi disséminés en quantités significatives dans l’environnement.(...)[1] Lire Depleted Uranium Radioactive Contamination In Iraq : An OverviewSuite sur:http://blog.mondediplo.net/2012-12-05-Irak-apres-les-feux-de-la-guerre-les-cancers+++
(La musique, extase suprême?)(outerlimboから)+++
monsieurpoireau.blogspot.comAprès le scandale du Libor, c’est au tour de l’EuriborPresseuropLe Figaro, The Wall Street Journal Europe
(...) “Un taux peut en cacher un autre. Idem pour les scandales”, ironise Le Figaro, qui rapporte des informations du Wall Street Journal selon lesquelles “la Commission européenne s’apprête à accuser plusieurs banques de tentative de connivence dans la fixation de l’Euribor.” Entre la mi-2005 et la mi-2008, des traders indélicats (tautologie?) se seraient entendus pour demander à leurs collègues à la trésorerie de soumettre un taux plus haut ou plus bas, histoire de mieux valoriser leurs positions. Face à ça, Bruxelles s’interroge à la fois sur l’existence d’une fraude et sur un viol des règles de la concurrence. Le quotidien français rappelle qu’une “douzaine de banques feraient l’objet d’une enquête [depuis octobre 2011], y compris la Société Générale, le Crédit Agricole, HSBC et la Deutsche Bank.” Et que l’information du journal américain des affaires est un pavé dans la mare pour la Fédération bancaire européenne qui gère l’Euribor et qui pensait qu’un panel à 43 banques protégeait l’indice de référence européen par rapport à son cousin britannique, plus light.” [le Libor rassemble 18 banques]
+++Benoît Barvin