Comptine

Publié le 24 décembre 2012 par Theatrummundi


 Chanson un peu idiote, traduite de mémoire (un peu arrangée aussi, sans doute)

Je voulais que tu m’aimes

Et maintenant tu m’aimes

Mais je t’en prie ne m’attends pas

Je ne viendrai pas à toi

Mon cœur est un caillou

Dans le jardin de quelques personnes

Dont certaines sont mortes

Et personne je l’espère ne peut suivre jusqu’à moi ces cailloux dispersés

Pourtant un seul il faut le croire

Et tout cela n’est qu’apparences

Y compris cette forteresse qui n’est telle

Que de ne pouvoir être trouvée

Alors je t’en prie nage jusqu’à la rive et tiens-toi sauve

Je suis un fantôme

Je suis un adieu


 Chanson un peu idiote, traduite de mémoire (un peu arrangée aussi, sans doute)

Je voulais que tu m’aimes

Et maintenant tu m’aimes

Mais je t’en prie ne m’attends pas

Je ne viendrai pas à toi

Mon cœur est un caillou

Dans le jardin de quelques personnes

Dont certaines sont mortes

Et personne je l’espère ne peut suivre jusqu’à moi ces cailloux dispersés

Pourtant un seul il faut le croire

Et tout cela n’est qu’apparences

Y compris cette forteresse qui n’est telle

Que de ne pouvoir être trouvée

Alors je t’en prie nage jusqu’à la rive et tiens-toi sauve

Je suis un fantôme

Je suis un adieu