La crèche m’invite à accueillir ma vulnérabilité et à prendre le risque de m’ouvrir à l’autre tel que je suis. Le Dieu des chrétiens n’est pas un Superman, ni un héros mais quelqu’un, une personne qui sauve en donnant tout, en se donnant.
Philippe Pozzo di Borgo : L’image du Dieu enfant innocent et désarmé et qui plus tard portera le poids et les misères du monde est, à travers son sacrifice, la plus grande espérance de notre humanité. La fragilité est une force tranquille, en devenir, à la lumière de cet accomplissement.
Source : interview du magazine La Vie