Revenant à mes interrogations fondamentales, j’espère ne pas trop avoir déçu ceux qui veulent à tout prix me faire jouer lesfuturologues , les MadameSoleil et autres, à propos de l’avenir et du développement énergétique et en particulier du nucléaire ….Nous n’avons pas les sous pour nous permettre d’arrêter des centrales REP qui marchent , nous n’avons pas les sous pour construiredesEPRen pagaille , nous n’avons pas les sous pour faire plus que ce que nous faisons sur la génération 4 …..Le peu de sous qu’ il nous reste doit être consacré aux modifications à introduire suite aux stress tests postFUKUSHIMA …Et que mon lecteurXYZse contentede ce résumé réaliste et modeste !
C’est par un dialogue fictif avec mon petit-fils que je reprendsle thème de la NON LOCALITE QUANTIQUE , deL’INTRICATION,de la Transmission de l information quantique et de la DECOHERENCE
- J’ aimerai savoirPAPY ce que tu définis , en définitive, par ces mots « NON LOCALITE QUANTIQUE «
- C’est facilePIERRE, si jecommence par me référer à la non localité« tout court » . Dans notre univers banal , deux objets séparés par un espace , ne paraissent pas souvent avoir d’action à distance l’un sur l’autre : ainsisi je remue à ma place à table dans mon plat cette tomate ça ne fera pas bouger la tienne pour autant !Pour simplifier , seulson entourage immédiat semble concerner cette tomate et on parlera alors d’une action locale possible ….En revanche il peut y avoir des degrés dans la localité d’un phénomène ; ainsi , si toi et moi jouons à nous jeter des tomates à la tête , c’est le champ de gravité qui les amènera toutes deux à terre ….en généralisant on pourrait dire alors quecomme EINSTEIN la gravitation et la Relativité Générale obéissent au principe de localité ….
- Mais pourquoi dit-on alorsque la battement d’aile d’un papillon auBRESIL peut changer le climat ici en EUROPE ?
- I l s agit d’autre chose PIERRE , et pas d’une sorte de non localité macroscopique …..La théorie duCHAOS traite des systèmes dynamiques rigoureusement déterministes, mais qui présentent un phénomène d'instabilité appelé « sensibilité aux conditions initiales » qui, modulant une propriété supplémentaire de récurrence, les rend non prédictibles en pratique àcourt , moyen ou long terme. E t c est le cas pour les répercussions météorologiquesdans ton exemple …
- Quand observe-t-on alors des cas « certifiés « de non –localité quantique ?
- C’est en changeant d’échelle en revanche que les choses « se gâtent » : nous physiciens « classiques » nous proposons quelorsque la taille des objets diminue , on finit par observer ces briques fondamentales séparées et discrètesde la Nature, que sont les électrons , les neutrinos et lesquarks et que nous rangeons dans unsystème que nous appelons MODELE STANDARD DES PARTICULES ….. et nous essayons alors d’enDONNER UNE IMAGEd’ objetsdiscontinus , discrets ,possédant chacun une personnalité typique et des caractéristiques propres ( masse, spin , charge , énergie cinétique , temps de vie , résonance etc. ) ….Mais en réalitétous les physiciens ne sont pas d’accord avec cette présentation « matériellement quasi ponctuelle » et certains ne raisonnent qu’en termes de champs continus qui occupent un certain volume d’espace….Lesquels champs« sécrètent »certains modes d oscillations ‘( que certains appellent « CORDES ») …. Alors dans cette configuration-là, beaucoup plus étendue volumétriquement, certaines expériences française et étrangères ont montré que lorsque des systèmes peuvent être intriquésc’est à dire qu'une interaction en un endroit du système a une répercussion immédiate en d'autres endroits il ya là un exemple de non localité quantique( voir mes photos )
A SUIVRE
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