L’hiver commence et se finit l’année. La fin du monde est derrière nous, rien donc ne s’est passé.
Me revient tout soudain un passage de ma nouvelle Dans les Jardins de la Fontaine, nouvelle écrite il y a longtemps dans la revue Calades et qui raconte l’histoire étrange de ce photographe paralysé à l’idée d’appuyer sur le déclencheur de son vieux Leica.
Ce texte est le premier publié dans ce blog, téléchargeable ici. En voici un extrait qui prend un autre sens après ce cataclysme fantasmé…
(…) Alors il ferait à nouveau le geste, il pourrait… Alors il n’aurait plus peur…