Rien de tel qu’un bon café le matin. La première fois que j’ai aimé le goût bien particulier du petit noir, c’était il y a dix ans à Cuba. La maîtresse de maison nous en avait fait un avec une de ces machines italiennes, on voyait la fumée sortir de la cafetière en inox. Un vrai goût fuité et parfumé, des arômes particulières loin de l’amertume de certains bristrotiers français. Un de ces café que l’on boirait tous les jours avec gourmandise. Depuis, je recherche cette saveur à chacune de mes dégustation, parfois en vain, parfois en noyant l’amertume sous un nuage lacté, mais quand je la trouve enfin je suis renvoyée sous la chaleur humide et tropicale de cette petite île d’une autre époque.
photo: livraison de petits déjeuners avec Braixfast.