Mettre un terme aux privilčges scandaleux des hommes politiques

Dans le cadre d'une émission des Grandes Gueules qui est passée sur RMC, on y découvrait un portrait croisé de jeunes qui non seulement, sont au chômage alors qu'ils ont même fait des écoles supérieures de commerce ( un scandale en soi ) mais aussi les privilèges exhorbitants de la classe politique, dont bizarrement, les médias ne font bien souvent nullement mention.
Ainsi, on y apprend que des sénateurs qui disent ne gagner qu'un peu plus de sept mille euros par mois gagnent en réalité douze mille euros net par mois, avec une grosse part qui échappe totalement à l'impôt ( ce qui ne les empêche pas de dire aux français qu'il faut qu'ils se serrent la ceinture ! ) sans même parler des parlementaires, qui gagnent six mille neuf cent euros plus une indemnité de six mille deux cents euros qui ne concerne pas la rémunération des collaborateurs, sans parler des divers avantages inhérents à la fonction !
En réalité, selon ces jeunes, il y aurait de quoi faire sauter la République actuelle si tout le monde savait le dixième de ce qu'il se passe au Sénat et à l'Assemblée Nationale ! Entre ces élus qui viennent une fois par mois, voire par an, tout en percevant leurs indemnités, entre ceux qui bénéficient d'avantages sur des transports en commun ou taxis, alors qu'ils ne les prennent jamais, sans parler des prêts immobiliers plus avantageux que le commun des mortels http://forum.hardware.fr/hfr/Discussions/Societe/deputes-senateurs-ministres-sujet_40593_1.htm sans oublier ce rappel de la loi de Pareto selon lequel 20 % seulement des députés travailleraient, et 80 % ne feraient rien !
Je pense qu'il faut mettre un terme à tous ces avantages, privilèges mirobolants, que la France se grandirait à se réformer, mettre un terme à de telles dérives, grâce à une classe politique renouvellée intégralement et responsable. Je regrette que les médias ne parlent quasiment jamais, à quelques exceptions notables près, de ces sujets qui méritent pourtant l'attention des français.