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More than a simple pill!

Publié le 21 décembre 2012 par Jhblog

Lenox (non pas le médicament mais le musicien !) se révèle à Sojeans le temps d’une pause-café. Sébastien aka Lenox nous vient de Belgique et a sorti son premier album Opening Act au mois de mai 2012. Ce premier jet s’inspire d’univers rythmiques différents : la pop est mélangée au reggae et au hip-hop, pour un résultat qui donne la pêche ! Selon le compositeur, la musique est une véritable catharsis – d’où son nom -  elle soigne les maux de l’âme. Attention de ne pas abuser de Lenox, on peut vite devenir accro !

Ton premier souvenir de jeans ?

Quand j’étais gamin, j’aimais beaucoup faire des trous sur les genoux de mes jeans parce que ça faisait cool. Je déchirais donc tous mes jeans.

Qu’est-ce ou qui t’as donné envie de jouer de la musique pour la première fois ?

C’est d’être allé aux festivals de Tomorrowland en Belgique. Là-bas j’ai découvert tout le monde : Radio Head, Björk, Sepultura, Rage Against the machine ou encore Stone Temple Pilot.

Ton premier album, Opening Act, est un mélange de hip-hop, soul, reggae : ça n’a pas été trop dur de tout mixer ?

Ce n’est pas une démarche intellectuelle mais plutôt une démarche émotionnelle. Avant j’étais bassiste. J’ai participé à pleins de projets de styles différents et à un moment donné j’avais vraiment envie de proposer un son qui me faisait kiffer de A à Z. Le résultat sur mon album est un mélange de tous ces genres-là. C’est varié car je ne me suis absolument pas limité. Je n’ai pas fait cet album pour le vendre, l’idée s’était plutôt de présenter mon travail en tant que producteur, donc je me suis dit je vais faire tout ce que j’aime.

Quelles sont tes inspirations du moment ?

En ce moment, c’est vraiment dubstep et électro. Comme Skrillex ou Foreign Beggars que j’aime beaucoup car ils mélangent le dubstep et le hip-hop, il y a aussi les sud-africain de Antwoord, eux ils vont mélanger le hip-hop et l’électro club. Ce sont des mélanges qu’on entend rarement et qui m’intéressent.

 Est-ce qu’il y a autre chose que la musique qui t’inspire ?

Le ciné, avec des films comme Dead Man de Jim Jarmush, toute la bande son a été faite par Neil Young. Il avait le film projeté dans son studio et toute la bande son a été faite avec sa guitare et ses essais. C’est un projet qui m’a beaucoup inspiré. (…)  La photographie et tous les arts de rue, notamment la danse. Toutes les choses qui me touchent.

 Ta marque et tes coupes de jeans ?

Edwin pour la marque… Je préfère les coupes larges.

 Une anecdote avec le jeans ?

J’ai complètement déchiré un jeans un jour, mais vraiment de haute en bas sur toute la couture ! C’était dans un champ à côté de Bruxelles, j’étais avec mon frère et il y avait une vache qui avait des cornes dans l’enclos. Je suis passé par-dessus les fils barbelés et d’un coup la vache s’est retournée ! Mon frère m’a hurlé : « Fais gaffe c’est un taureau. Il va te courir dessus! » J’ai complètement paniqué et je me suis pris dans les barbelés, j’ai déchiré tout mon jeans ! C’est mon souvenir de catastrophe avec un jeans ! J’avais les mains et les genoux en sang. Et quand je me suis retourné, la vache n’avait pas bougé ! C’était juste une fausse panique…

Après Lenox Party et Colorblind feat Ben Mazué, tu sors un troisième single Toy Boy un peu plus électro, tu peux nous en dire un peu plus sur ce titre ?

Je l’ai fait avec Julie Bessa et Spectre, un rappeur londonien. Toy Boy, c’est mon clin d’œil aux nanas qui font la fête. C’est un morceau un peu électro, un peu à la Britney Spears, lady Gaga ou encore Katty Perry ! Je trouve que le côté Dom Juan des nanas est toujours vu négativement et je ne suis pas d’accord. Tout le monde a le droit de se marrer, tant que c’est consenti !

Si tu n’avais pas été musicien, tu as dit que tu serais cuisinier… Si tu devais conseiller un plat aux gens qui t’écoutent en cuisinant, ce serait lequel ?

Un plat Thaï que j’adore faire ! Un curry rouge avec canard laqué, litchis, tomates cerises et riz gluant fait maison ! C’est une tuerie !

Lenox (not the drug but the musician!) opens up to Sojeans during a quick coffee break. Sébastien a.k.a Lenox is from Belgium and released his debut album Opening Act last May. The album is inspired by many different rhythms ( pop is mixed with reggae and hip-hop) for a result that leaves you feeling energized and refreshed. According to the composer, his music is a real catharsis-hence the name-and treats ailments of the soul. Please do not abuse Lenox, you can quickly become addicted!

Your first memory of jeans?

When I was a kid, I loved to make holes in the knees of my jeans because that was cool. So I tore my jeans.

Who or what gave you the desire to play music for the first time?

That would have to be the Tomorrowland festival in Belgium. There I found everyone: Radio Head, Bjork, Sepultura, Rage Against the Machine and Stone Temple Pilot.

Your first album, Opening Act, is a mixture of hip-hop, soul, reggae…was it not too difficult to combine it all?

It is not an intellectual process, but more of an emotional process. Before I was a bass player, I participated in a lot of projects of different styles and at one point I really wanted to offer a sound that I loved from A to Z. The result on my album is a mixture of all of those genres. It’s varied because I do not limit myself. I did not make this album to sell…the idea was rather to present my work as a producer, so I said I’ll do whatever I like.

 What are your inspirations at the moment?

At this moment, it’s really dubstep and electro. Like Shrillex or Foreign Beggars who I like a lot because they mix dubstep and hip-hop. There is also the South-African group Die Antwoord who mix hip-hop and electro club. These are mixtures that you rarely here and they interest me very much.

Do you have other things besides music that inspires you?

The cinema! Films like Dead Man by Jim Jarmush whose entire soundtrack was done by Neil Young. He was thrown into the film studio and the whole soundtrack was made with his guitar and tests. This is a project that inspired me a lot. (…) Photography and all street arts, including dance. All things that touch or affect me.

Your favorite brand and cut of jeans?

Edwin for the brand and I prefer wider cuts.

 A story involving jeans?

I completely ripped a pair of jeans one day, but really from the bottom along the entire seam! It was in a field near Brussels, I was with my brother and there was a cow that had horns in a pen. I passed over the barbed wire and at once the cow turned! My brother yelled, « Watch out! It’s a bull. He’ll run over! « I completely freaked out and got caught in the barbed wire…. I ripped all my jeans! It is my recollection of disaster with jeans! My hands and knees covered in blood. And when I turned around, the cow had not even moved! It was just a false panic …

After Lenox Party and Colorblind ft. Ben Mazué you released a third single, Toy Boy, that was a bit more electro. Can you tell us a little bit more about this track?

I did it with Julie Bessa and Spectre, a London rapper. Toy Boy is my shout out to the girls who are partying. It’s a piece that is a  little electro, a little Britney Spears, Lady Gaga or Katy Perry! I find that women who embody the persona of Dom Juan are always viewed so negatively and I do not agree. Everyone has the right to laugh. 

If you were not a musician, you said that you would be a chef. If you had to advise a dish to people who are cooking to your music, what dish would it be?

A Thai dish that I love to cook! A red curry with duck, lychees, cherry tomatoes and homemade sticky rice! This is a killer!

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