Quand j’étais petit, Maurice Herzog venait souvent à la maison, j’étais impressioné par ses récits et surtout par ses mains… Mes parents le citait toujours en exemple à propos de la perséverance, de l’abnégation et de la souffrance surmontée et mes sœurs lui faisaient du gringue, ou l’inverse. Il avait une tête de play boy et me parlait comme son égal, moi qui n’était qu’un enfant et lui, à mes yeux, un…Dieu.