Les mayas ont réussi avec quelques milliers d’années d’avance à mettre le feu !
Quelle prouesse ! Et si la Terre ne connaît pas ses dernières heures, ils auront fait parler d’eux. Sacré coup de communication, à méditer par toutes celles et tous ceux qui recherchent à faire parler d’eux !
À l'origine, cette date marque la fin des 5 125 années d'un cycle du compte long du calendrier maya, interprétée par certains comme la fin définitive de ce calendrier (Wikipédia).
Que se passera-t-il alors demain ? Personne ne peut vraiment le savoir, même si de nombreux scientifiques, pétris de certitudes, nous expliquent tous pourquoi la fin du monde n’est pas pour demain.
Il faudra dire, un peu plus qu’hier, à ceux qui vivent à nos cotés, qu’ils nous sont chers. Et si la fin du monde n’est pas pour demain, au moins nous l’aurons dit !
Par contre, nous vous déconseillons certains actes qui pourraient avoir des conséquences, au cas où les mayas se seraient plantés. Après tout, nous ne les connaissons pas parfaitement et il est difficile de juger, d’où nous sommes, de leur degré de fiabilité.
Aussi, nous vous déconseillons de ne pas aller au travail pour profiter de cette dernière journée et d’insulter votre patron quand il vous appellera pour vous demander la raison de votre absence.
Il ne serait pas opportun non plus de vous goinfrer ce soir en oubliant tous les efforts que vous faîtes depuis des mois pour garder la ligne. Rappelons dans le même registre que l’abus d’alcool est dangereux pour la santé.
Oubliez également les achats impulsifs. Votre banquier qui n’a pas prévu la fin du monde pourrait apprécier modérément la blague et surtout si les mayas ont raison, cela pourrait ne pas vous servir à grand-chose dans les heures qui viennent.
Par contre ne déchirez pas votre ticket de loto gagnant sous prétexte qu’il ne vous sera plus d’aucune utilité.
En fait, ne faites rien aujourd’hui qui pourrait vous nuire après-demain. C’est presque la définition du développement durable, seule logique qui devrait nous permettre, un peu plus sérieusement, d’imaginer l’avenir, au-delà du 21 décembre.