Depuis bientôt une décennie, UBS s’illustre par sa redoutable capacité à frauder, à cacher ou à jouer.
Elle n’a plus de banque qu’un nom qu’elle veut bien garder.
Pour le reste, un ramassis de fraudeurs punis (et à punir encore) de par le monde végète en son sein, bien sûr toujours rémunérés de façon opulente et scandaleuse.
Après l’avoir sauvée, la Suisse ne peut tout simplement pas se permettre de la laisser poursuivre ses activités.
Elle a largement démontré qu’elle se fichait pas mal des recommandations. Il faut maintenant tout simplement lui retirer sa licence bancaire, faute de quoi elle continuera sur sa lancée malgré ses promesses.