« La situation est très complexe compte tenu du nombre d'acteurs en présence et des mouvements de population que les combats ou la crainte de nouvelles violences ont engendrés », explique Georgios Georgantas, chef de la délégation du CICR à Bangui. « Quoiqu'il arrive, il est primordial que tous les acteurs en présence respectent et protègent les habitants des régions en proie à la violence et aux tensions. Leurs biens doivent également être épargnés et ne doivent pas faire l'objet de pillages ou de destructions. Ceux qui apportent les premiers secours aux blessés ou aux malades, les évacuent et les soignent, doivent pouvoir conduire leur mission sans entraves. » (Lire la suite)