Ed Freeman, c’est lui !
Dans la logique d’Ed Freeman , que nous vénérons totalement à Nicomak depuis que Geoffroy et Myriam ont eu la chance de dîner avec lui à Bergame en Italie il y a 2 ans et conservent un dialogue de méthodologie avec lui depuis, une partie prenante doit être connue et reconnue.
Ok, mais d’abord, c’est qui Ed Freeman ? Ed, c’est tout simplement l’inventeur de la théorie des parties prenantes, dans un article paru pour la première fois en 1984 (grande année !) dans l’ouvrage Strategic Management: A Stakeholder Approach
Dans la réédition de 2010 du livre, Freeman introduit une nouvelle donnée : pour ne pas penser à la place de nos parties prenantes, il est important de lui donner un visage et un nom – on rentre donc dans la « name-and-face approach ».
Cette approche revient à sélectionner un représentant par partie prenante, qui pourra porter les revendications d’un groupe, mais avec qui des échanges physiques auront lieu – et non pas des « projections de ce qu’on croit qu’elles pensent ».
C’est dans cette logique que Spidermak a construit l’une des étapes de son aide au dialogue avec les parties prenantes. Pour chaque item d’un référentiel de management RSE (global compact ou ISO 26000) ou d’un référentiel de reporting RSE (GRI), vous allez choisir des parties prenantes et nommer un représentant de ce groupe.
Vous irez ensuite discuter en personne avec ce représentant pour savoir quels sont les enjeux de ces parties prenantes – et vous pourrez décider ensemble d’un projet RSE qui puisse répondre à cet enjeu !
Pour aller voir cet aspect de Spidermak, allez voir notre tuto