Résumé :
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Je donnerais mon âme>> Toute l'intrigue de l'unique roman d'Oscar Wilde est en germe dans ce voeu aux accents de pacte faustien. Dorénavant, Dorian Gray ne vieillira plus : c'est son portrait qui portera les stigmates de son âge, de ses vices et de ses crimes .
En 1890, lorsque paraît Le Portrait de Dorian Gray, les adjectifs ruissellent sous la plume des critiques pour crier à l'immoralité : lascif, pernicieux, répugnant, empoisonné, le livre respire une atmosphère <>. Mais pour Wilde, la qualité du style est le seul critère pour juger d'une oeuvre : <
Ma phrase préférée :
Gisant sur le plancher, était un homme mort, en habit de soirée, un poignard au coeur ! ... Son visage était flétri, ridé, repoussant : ... Ce ne fut qu'à ses bagues qu'ils purent reconnaître qui il était ...
Ma phrase :
C'est ça que Dorian Gray aurait dû être... Vieux, avec les stigmates de la vieillesse et non de l'immoralité.