Non, mais c’est vrai quoi, on ne le dit pas suffisamment. Il semble que l’on n’ose ni le penser, ni le formuler. Par paresse ou par crainte de s’attirer jalousies ou poisse.
Tant pis, j’ose, n’ignorant pas que rien ne dure, que le bonheur peut nous abandonner, mais que restera toujours un petit coin de paradis où la vie, la belle s’en est allée se réfugier.