Il y a eu le rêve italien, celui de Georges-Marc Benamou qui se voyait nommé discrètement à la Villa Médicis, obtenant ainsi tranquillement un poste particulièrement convoité, du seul fait de son copinage avec le locataire de l'Elysée. Las, devant la levée de boucliers de cette nomination digne d'une république bananière, le pauvre a vu Nicolas Sarkozy contraint de nommer la commission d'évaluation qu'il avait promis lors de sa campagne... et a décidé de ne pas concourir. Réaction tout de…