J’ai cru à un déballastage sauvage, comme il y en a toujours dans un contexte de marée noire, aussi minime soit-elle : des profiteurs surfent sur la pollution ambiante pour en remettre une couche. Classique. Mais non : les boulettes de pétrole échouées sur l’île de Ré proviennent bien de la raffinerie Total de Donges, les analyses sont formelles. Après le port de Paimbœuf, en Loire-Atlantique, c’est donc au tour des îles charentaises de broyer du noir. A lire dans Sud Ouest aujourd’hui.