The Hobbit: love at first sight…

Publié le 16 décembre 2012 par Bigreblog

Aaah… C’est l’histoire d’un bouquin que j’ai avalé en deux temps trois mouvements. C’est l’histoire d’un film que j’attendais depuis troooooop longtemps. Et ben…c’est l’histoire d’un coup de foudre.

Coup de foudre avec le visuel du film, avec sa BO (tu m’étonnes John), avec Bilbon et Balin (parce qu’ils roxent), et ben… avec Thorin himself.

Parce que Richard ben…c’est Richard. J’te le viole quand tu veux…

Major spoiler alert!

Peter, je te salue, grand enfoiré! Car oui, Mesdames et Messieurs les fans de Tolkien, The Hobbit signe peut-être enfin l’adaptation la plus fidèle de la franchise Middle Earth. Je ne m’en plains pas, vu que j’ai lu le livre juste avant. Et les scènes modifiées ne sont pas légions, et quand elles arrivent, elles sont placées parfaitement. Comme les scènes de la mine des gobelins (où les nains tuent leur mère, j’ai envie de dire), ou celle où Bilbo sauve Thorin.

Je déteste la VF. Sérieusement, la chanson des Misty Mountains Cold en VF, elle est pitoyable. Heureusement que je l’ai en sonnerie, avec la voix de Richaaaaaard. Grrrrrr…

Martin Freeman = Bilbo Baggins. Rien d’autre à dire. Le personnage a l’air d’être fondu sur son interprète, et il est tellement mignon et drôle que je l’épouserais direct. Mon ptit Watsonounet d’amour… <3

Ken Scott en Balin, un pur délice. Le cousin de Gimli est parfait, juste parfait. Probablement mon troisième nain préféré, après T et…

Bofur. J’adore son look, et j’adore la personnalité que lui a alloué son interprète. Il est adorable.

Les nains en général sont tous excellent. Le cast est mirifique. Rien à redire.

Radagast The Brown. Juste Radagast quoi. Je l’aime plus que Gandalf lui, vachement plus. Et vive Sébastien le hérisson, j’ai envie de dire… Ooooh…

Cate Blanchett vieillit bien. Trop bien même. Elle est trop belle, cette femme. Elle me rend jalouse.

Hugo Weaving, tu m’as manqué gros. I love you. Ellgronde. Master Ellgronde.

Et puis Benedict, crédité alors que son Smaug est parcimonieusement affiché. C’est Chettebi qui va être contente…

Alert! Scene stealers spotted! Alert!

Vous commencez à me connaitre, il n’est pas compliqué que me faire plaisir à l’écran. Une paire d’yeux bleus, un sourire de malade, un accent du Nord du Royaume de Moi, et je fonds. Fatalement. Les nouveaux Merry et Pippin de The Hobbit, c’est Fili et Kili, les deux bogoss (en même temps, ce sont les neveux de Thorin, j’ai envie de dire). Fili est blond, a les yeux bleus, et un sourire de ouf. Il cumule, et à chaque fois qu’il est à l’écran, je bave.

Kili est brun, aux yeux bruns (dis-donc), et un sourire de malade itou (sont pas frères pour rien quoi). Et il est joué par Aidan Turner. Un espèce d’enfoiré qui cumule aussi quoi…

Thorin Oakenshield. Rien que le fait qu’on ait casté pour le rôle l’Homme le plus canon de l’Angleterre m’avait gagné. La voix la plus mââââle de UK qui chante Misty Mountains, on rajoute. Mais là, après deux heures quarante-cinq d’écran, de jetage intempestif de regards brûlants avec ces deux phares bleus qui me tuent, et de bourrinage vachement sexy (parce que c’est lui), Richard m’a rendue toute chose. Je pense que je suis en manque. Sorry d’usiter l’expression… ^^

Smeagol, je t’aime. Tes vingt minutes d’écran me manquent déjà. Tu es trop minouche. Andy, God bless you.

Bref, à voir, à revoir, à déguster, si possible en VO, parce que le prochain, c’est dans un an, les gens…

Note: 9,75/10 (scénario: 9/10 - jeu: 9/10BO: 10/10adaptation: 9/10)