Les mots ne sont pas vraiment à la mesure des sentiments d'un moment.
Et,
les mots des autres sont particulièrement contrariants.
puisqu'ils
voguent à contre-courant de nos garanties d'exister.
Entre fardeau et plume.
Entre
Foutez-moi la paix
et
Je ne sais plus.
Pourquoi
ni
Comment
Alors parfois,
on peut se permettre de baisser la garde,
juste un peu,
histoire d'en sourire de l'indispensable dérisoire,
qui fait de nos vies, un pluriel unique.
Et ce n'était pas,
là,
la moindre des contradictions à venir.
Enfin, j'imagine.
Dimanche
2
Zan
nain