« Certains habitants ont quitté leur habitation, alors que d'autres n'y passent pas plus de quelques heures par jour, par crainte de nouvelles violences », explique Georgios Georgantas, chef de la délégation du CICR en République centrafricaine. « Il est primordial que ceux qui ont une influence sur le sort des populations, des blessés et des détenus mettent tout en œuvre pour que ces personnes soient épargnées par les violences. » (Lire la suite)