Dans les disciplines où l’observation directe est difficile, on peut interpréter un phénomène de multiples façons. Tel est le cas d’un pulsar que l’astrophysique standard assimile à un astre vieux. Pourtant, lorsqu’on rapproche les deux images d’un pulsar et d’une étoile naissante, il semble bien que nous ayons affaire à deux phénomènes au fonctionnement identique puisque l’évacuation de la matière s’effectue par les pôles opposés :
le pulsar du crabe
une étoile naissante
schéma d'un pulsar
Schéma d'une étoile jeune
A priori, comme le montre ces images, le pulsar serait le stade très actif qui précède la formation d’un disque d’accrétion de l’étoile jeune en train de se développer.
Pourtant, le pulsar est présenté par l’astrophysique officielle comme une vieille étoile qui a parcouru tout le cycle stellaire pour atteindre le stade de géante rouge, laquelle en explosant a libéré sa couronne gazeuse pour ne plus conserver que son cœur très chaud : une étoile à neutrons. Or, il ne s’est trouvé jusqu’à présent aucun pulsar dans la nébuleuse de SN 1987A, une étoile bleue très chaude qui a explosé.
En définitive, il apparait invraisemblable qu’un astre aussi chaud, aussi dynamique qu’un pulsar puisse être une vieille étoile car comme nous lecteurs peuvent le constater sur les images, sa phénoménologie ressemble étrangement à un astre jeune en train de naître et d’expulser une fraction de la matière qu’il est en train de synthétiser.