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Je me suis « faite eue » par le froid, ah gla gla

Publié le 11 décembre 2012 par Elosya @elosyaviavia

thermomètre

Ma foi quand vous lirez ces lignes, je serais transie de froid, de chaud ou de frissons chaud-froid dans mon lit (fébrilité quand tu nous tiens).

L’hiver, le froid et la neige sont là (normal, en même temps nous sommes début décembre) et je me paye déjà un petit rhume ? Une angine ? Une grippe ? Enfin un truc qui me rend toute patraque et qui me pousse à m’enfoncer profondément sous ma couette. Un truc qui me fait garder mes chaussettes, un bon t-shirt pas glamour et une tête pas très folichonne aussi. Un truc qui fait que je scotche plusieurs minutes secondes durant sur la même chose.

En fait, je suis en train de vous expliquer que je n’aurais point d’article de la mort qui tue à vous donner aujourd’hui, parce que je me sens fébrile, fatiguée et que j’ai l’impression que mon cerveau mouline dans le vide.

Pour tout vous avouer, j’ai même la sensation que mon cerveau virevolte dans un champ de marshmallows et qu’il n’y voit aucun inconvénient.

Même qu’hier, je suis allée au boulot alors que j’étais pas bien du tout, du tout. Je pensais faire bonne figure, mais entre les regards inquiets de mes stagiaires, le « ouh la, mais toi tu couves un truc, tu as une tête toute bizarre aujourd’hui » de mon directeur, le regard compatissant d’un collègue qui après 3 minutes de conversation avec moi, m’a dit qu’il voyait bien que j’étais malade parce que j’étais très différente de d’habitude. J’ai capitulé et je sais maintenant que je ne sais vraiment pas faire bonne figure. Je ne suis plus en possession de mes moyens.

Et plus particulièrement de mes moyens intellectuels.

Quand je suis malade, j’essaie de me donner du baume au cœur en repensant à ces fois où mon papa venait et qu’il me filait un petit médoc et que pouf j’allais mieux. Je n’ai jamais su si c’était d’être à son contact ou bien parce que son médoc était bien efficace. Les deux peut-être. Il y avait la main de ma mère sur mon front, une main apaisante pour juger de ma fièvre et qui était aussi réconfortante dans mes moments de fébrilité.

Maintenant que je suis grande, c’est à mon tour de m’occuper de moi. Je me fais du bouillon, hors période de maladies j’en prends, mais j’ai toujours un peu la sensation d’être au régime si j’en bois. Mais quand la maladie est là, j’ai l’impression que le bouillon est un mets absolument délicieux. Je me fais des tisanes miel, citron, gingembre ou au thym. Je lis des magazines, des livres. Et puis surtout je me pose et me repose. Avec les années, je note que les maladies débarquent souvent juste après une grosse période de stress. Alors je prends soin de moi.

Sur ce, je programme ce petit billet pour demain, je vais me faire ma petite tisane (ah ouais on est rock’n'roll ou on ne l’est pas hein), j’enfile mes grosses chaussettes, je prends un livre et après je vais taper la bise à Morphée et on se revoit quand je serais en forme (bientôt)

:-)
.

Et par la même occasion, quand je serais à nouveau en forme, je rebougerais mon body là dessus :

Bruno Mars Locked out of heaven

Ps : et vous c’est quoi vos petits « trucs » pour guérir vite et bien ?

:-)


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