« Cette publication a entraîné un émoi légitime, notamment chez les jeunes issus de l’immigration chinoise, en raison des clichés racistes qu’elle véhicule », déplore l’association, en précisant qu’il s’agit d’une première. L’article incriminé expliquait notamment que l’entrepreneur chinois en France ne payait pas d’impôts, ne cotisait pas et ne rémunérait pas ses salariés. (source)
Aujourd’hui, n’ayant pas eu gain de cause, ils ont donc décidé de porter plainte pour « diffamation publique raciale à l’encontre des Français d’origine chinoise » contre l’hebdomadaire. Très bien. Que la justice suive son cours. Car comme le disent les Inrocks, “Remplacez ‘chinois’ par ‘noir’, ‘arabe’ ou ‘juif’ et vous avez une polémique nationale”… Et yen a marre, de cette France là.