Elle estime que le modèle développer à Lorient par Loïc Ferry, qui offre une part variable du salaire des joueurs en fonction des résultats, est une belle idée : « C’est à mon avis un système très efficace. Et j’y pense. Quand je parle d’être flexible pour s’adapter aux aléas. Le fait d’avoir une masse salariale fixe moins forte et des primes plus élevées, permet d’équilibrer les comptes plus facilement, même lorsque la situation sportive se dégrade » explique-t-elle dans les colonnes de l’Equipe.
En revanche, elle peut comprendre les dépenses actuelles du PSG : « Ce qu’est en train de faire le PSG, c’est une relance du club. Et là, il faut des ressources extérieures. Mais une fois que le PSG aura stabilisé sa situation, il pourra entamer la même démarche que nous. Mais pour arriver aux résultats du Milan, le PSG va devoir encore beaucoup travailler. Je lui souhaite de réussir en tout cas » ajoute-elle.
Barbara Berlusconi assure pourtant qu’elle n’est pas jalouse des moyens financiers dont dispose le club parisien : « Pourquoi devrions-nous envier le PSG ? Nous n’envions personne. Nous sommes le club le plus titré au monde. Aujourd’hui, j’ai juste de l’admiration pour des clubs comme le Bayern, qui ont vraiment su créer un système économique vertueux » conclut-elle.