Les titres que j'ai choisis, des spectacles que j'ai envie de voir, révèlent ma personne certes, mais ce sont ceux aussi de la manne offerte, la main tendue si ce n'est avant la fin du monde, avant la fin d'un monde. Il n'y aurait qu'un seul choix celui de la fraternité, de la réconciliation des extrêmes ou de ceux qui rejetés se déchirent....ou servent de boucs émissaires ou d'alibis ou quel autre choix ? celui de la Résistance ou du Retranchement...
"Pour une surprise c'en est une. De surcroit magnifique. L'histoire est celle d'une rencontre entre deux univers à priori inconciliables. L'un qu'incarne Hervé Pierre, sociétaire du Français, est atteint de logorrhée, l'autre que joue l'acteur trisomique Pascal Duquenne (repéré en 1996 dans le film de Jaco Van Dormael Le huitième jour pour lequel il obtint conjointement avec Daniel Auteuil le prix d'interprétation au festival de Cannes) est muet, solaire, espiègle et s'active sans relâche. "
Sur Webthea Poil de Carotte par Gilles Costaz au Lucernaire
(allez faire un tour sur la programmation Cinéma du Lucernaire Classé « Art et Essai » avec mention « Recherche et Découverte »tant que vous y êtes : "tout est bon chez-elle il n'y a rien à jeter..."avec du Cinéma/Théâtre : César doit mourir.)« Tout le monde ne peut pas être orphelin » : c’est la phrase la plus connue de Poil de carotte.
Sinon le Naufragé, roman de Thomas Bernhard adapté par Joël Jouanneau avec Armel Veilhan, au Théâtre de la Bastille, mais tout le monde en parle déjà comme des Fleurs pour Algernon à la Comédie des Champs Élysées
ou Des souris et des hommes Théâtre14