Que vous l’ayez nommé délégué du Québec à New York, à 170 000 $ par année, personne ne remet en cause cette décision, l’ancien chef du PQ ayant de toute évidence les compétences pour assumer cette importante fonction chez notre plus important partenaire économique.
Mais lui accorder (en catimini jusqu’à aujourd’hui) le statut de permanent à vie de la haute fonction publique québécoise dans le dessein de lui garantir un job de sous-ministre adjoint lorsqu’il quittera (de gré ou de force) la délégation de New York, cela ressemble à de l’abus de pouvoir.