D’ailleurs, l’international français reconnaît qu’il est touché par les marques de sympathie des supporters d’Arsenal : « «Imagine, tu es à Anfield et tu entends sur l’air de Hey Jude des Beatles, une chanson à ton nom. J’en ai eu des frissons. Ça te donne encore plus envie de te battre » explique-t-il.
Il reconnaît avoir découvert une nouvelle sorte de pression en arrivant dans un club chargé d’histoire : « Dans les couloirs du stade ou au centre d’entraînement, tu sens le poids de l’histoire», reconnaît-il. Avant de préciser : «Je ressens la pression du résultat, pas celle inhibitrice du poids de mes devanciers.».
Retrouvez l’intégralité de l’entretien ce samedi dans les colonnes de l’EquipeMag.
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