Ras la toque des bûches sucrées

Par Vava22 @delicesdevaness

Et si on changeait ?

Pour Noël, si on abandonnait carrément la traditionnelle bûche sucrée, trop sucrée, au praliné, avec son biscuit bourratif et sa crème pâtissière juste un peu écœurante, surtout après une dinde aux marrons ?

Si on changeait, oui mais pour quoi ?

C’est quand même un monument indéboulonnable que cette bûche qui va trôner au centre de la table telle un trophée rapporté du fond des bois, avec ses petites nervures et ses champignons collés sur l’écorce.

Et puis, c’est un dessert équitable qui permet de faire des tranches dont l’épaisseur s’adapte à l’appétit de chacun.

Bon, d’accord un Noël sans bûche c’est comme Pâques sans cloches, c’est comme un 25 décembre sans sapin…

Alors, comment changer… sans vraiment changer ??

Eurêka ! On garde la forme mais on change le fond ! Ça, c’est l’idée géniale de Laurent André, le chef de l’Hôtel Royal Monceau à Paris. Depuis longtemps, il rêvait d’une bûche qui ne serait pas réservée au dessert. Il l’a donc revisitée et nous propose une version salée : une subtile association de pain d’épices maison, de foie gras de canard des Landes cuit sans alcool et de truffe noire de France.

De quoi apporter originalité et saveur sur votre table de fin d’année, surtout si vous l’accompagnez d’un porto 10 ans d’âge, d’un champagne vineux à base de Pinot noir ou d’un vin blanc de Vouvray demi-sec.

Bon, d’accord elle n’est pas donnée, mais c’est une bûche de palace !

Pour 4 à 6 personnes, il vous en coûtera 99 €*. Après tout, 16 € par personne c’est le prix d’une entrée ou d’un dessert dans bon nombre de restaurants gastronomiques.

Petitgrognon

(*A réserver et commander au 01 42 99 98 80)