Trucville, un de plus

Zynga, on aime, on n’aime pas, on adore, on déteste, … mais force est de constater, quelque doléance on puisse avoir, qu’ils savent faire parler d’eux et de leurs (nombreux) jeux. Des jeux à caractère principalement social et tournant sur le tout-puissant Facebook, souvent annoncés au cours de Webex surpeuplés <NDHermione : mais qu’est-ce qu’il en sait lui ?> avec période de rétention. Pour créer la surprise, faire le buzz ou pour crisper d’attente les déçus de Farmville, Cityville et tous leurs autres machins dont je ne connais guère que le nom. Quant à savoir si ça les poussera à se délester d’un peu plus de leurs étrennes les futurs joueurs, rien n’est moins sûr. Une chose l’est par contre : chez Zynga, « premier fournisseur mondial de jeux sociaux », on invite à l’onirisme avec un CoasterVille plein d’aventures, magique et aux possibilités infinies. Ça vaut bien une petite paraphrase. Amir Rahimi, responsable de projet est affirmatif sinon prometteur : « Nous voulons faire de CoasterVille une expérience magique et inoubliable ».

Voter mission ? « Construire le plus beau parc à thème au monde ». Sur le papier ça s’annonce sympa. Dans la veine des Theme Park et des Rollercoaster Tycoon, sans doute en bien plus simple, vous poserez les jalons votre réussite à coups d’attractions personnalisées et d’entraide de bon voisinage. On vous prendra par la main pour apprendre « les ficelles du métier » avec des personnages qu’on espère, qu’on exige affables et distrayants. Au minimum. Gratuit, disponible dès aujourd’hui sur Facebook et traduit en 12 langues (dont la nôtre). Si vous n’avez pas de monnaie pour la machine à café, voilà ce qu’il vous reste à faire pendant votre pause.